Rouen. Quel vide numérique dernièrement. Plus d'agrégation, des familles d'accueil bouclées pour les australiens et le cycle d'une saison qui reprend.
Bien sûr la grande nouvelle n'a pas de rapport avec une nouvelle chérie que je pourrais avoir mais le fait que je ne suis plus chez la Pomme. Je sais. J'ai une vie faite de choix. Mais alors que j'ecris ce post par l'entremise de mon nouveau Galaxy Note 2 qui a un vrai système de prédiction quant à la saisie de message et pas le système énervant et assez mal au point de l'iphone (qui sera justifié philosophiquement par ces messieurs si on leur reproche, soyons rassurés), je me rends ainsi compte de l'univers que le smartphone représente pour moi. Quand on est un nomade dans tous les sens du terme, il est une deuxième maison numérique. Une de mes collègues à la vie bien rangée me disait que ELLE, n'avait pas besoin de tout cela. Peut-être est-ce parce que je suis hélas dans le zeitgeist. Connecté, en harmonie avec le monde (je me comprends) mais finalement sans vraies attaches si ce n'est ce qui me fait vibrer, à defaut d'une vie qui normalement serait celle d'une personne de lon âge, à en croire la société bien pensante.
