vendredi 29 novembre 2013

27 endroits magiques à voir avant de mourir

27 endroits magiques à voir avant de mourir:

J'en aurais fait un...(mais je pars jouer au loto dès maintenant)

'via Blog this'

On ne peut pas tout avoir

Rouen.  C'était un peu Noël dans ma boîte aux lettres aujourd'hui. Par une amusante conjonction postale  toutes mes passions sont arrivées en même temps. Football,  imaginaire, comics et Australie.
Pourtant un détail est venu gâcher cette orgie. Sauras-tu le retrouver?

jeudi 28 novembre 2013

Bill Bryson et Thanksgiving

Rouen. L'appartement est impeccable et immobile. J'attends mes invités pour mon Thanksgiving. Les poulets (oui je n ai pas trouvé de dinde) cuisent tranquillement.  Detroit avance plutôt bien pour sa première possession.  Mon regard se pose machinalement sur mes étagères et se bloque soudain.
Je regarde le dernier livre de Bill Bryson, "One Summer" au sujet de l'été 1927 et comment il changea les USA.. Je l'ai acheté à Brighton une poignée de livres (de pounds, pour éviter la confusion) pour compléter un lot de bouquins sur le Doctor Who et avoir la réduction. J'adore Bryson. Il est le genre d'érudit que l'on n'a pas en France. Il est drôle, sans vraiment de qualification d'historien et il a un regard incisif à l'anglaise. "Mother Tongue", "Down Under" sont autant de bouquins qui traînent en dur près du lit. Quant à ma Kindle, elle est colonisée par le reste.
Alors pourquoi ce post? Eh bien parce que je n'ai jamais vu un auteur avoir son nom écrit aussi gros par rapport à son titre sur la tranche le dos d'un livre, comme me reprendrait un ami bibliothécaire.  Dans un raisonnement un peu biaisé on pourrait se dire que c'est une invitation à vérifier si le livre est tellement mauvais qu'il est vendu sur le nom de l'auteur et non sur sa qualité intrinsèque. (Vivement que les invités arrivent, je me pose trop de questions)

mardi 26 novembre 2013

Brighton

Il est de ces villes que l'on aime. La mer, cette impression de refuge que seule l'Angleterre peut donner, ce melange de classique anglais et de swinging London. Et tout cela à quelques heures de la France, c'est un vrai dépaysement.  La monnaie est différente et ce petit détail est souvent sous estimé. Il y a bien sur, la nourriture, les gens (les chtis du sud anglais) et le Doctor, cela va sans dire. 
Pourquoi est-on attaché à un endroit comme celui-ci alors? A y réfléchir, je ne connais pas d'endroits laids, pas d'endroits qui me donnent envie de m'enfuir.  Il y a juste des endroits que notre esprit imagine, fantasme ou hante. Les endroits ne changent pas, au contraire de ceux qui les visitent.

mardi 19 novembre 2013

Pourquoi aller loin?

Rouen. Foire Saint Romain.
On trouve de tout à la foire. Tout sauf des mots bien orthographiés peut-être, mais on peut reconnaître aux forains un goût certain pour la technologie.  Si on a l'impression d'être dans une boutique Apple, on voit même le futur: la ps4 non encore sortie en France. Là, je dis bravo. Le futur c'est maintenant, de l'iphone 5 s au galaxy note 3, c'est la Fnac avec des croustilllons,  ici. En tout cas, malgré les livres d'or qui recèlent (avec la même écriture) de témoignages de gagnants, j'ai du mal à y croire. L'esprit de la fête n'est pas en encore en moi...

lundi 11 novembre 2013

La Route

C'est donc un week end de route. De ceux de joie et de tristesse de repartir. Un beau week end où j'ai pu étrenner la Matmobile3 et je dois dire que c'est un bonheur de payer autant de mensualités. Demain la vie reprend son cours comme on dit mais d'autres week end viendront. Avec toujours cette route qui me sépare mais qui me permet aussi de rejoindre mes mondes.

jeudi 7 novembre 2013

Long time

Rouen. Le ...en fait je ne me rappelle plus du nom de ce bar brasserie cossu de Rouen. Un nom d'écrivain comme tous les bars qui veulent se donner du cachet. C'est un endroit calme où les cheveux blancs ou teintés se rendent pour prendre un café. Le rythme y est lent (j'ai bien cru être invisible à un moment) mais la banquette est confortable quand il pleut et que l'on veut de la chaleur. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas passé une poignée d'heures à vaquer à mes occupations, à prendre mon temps. Cela me.rappelait les périodes post séparations où j'allais tuer l'ennui et surtout les idées noires. J'ai l'impression que c'était il y a des vies de cela et c'est effectivement le cas. Que de vies vivons-nous.
J'ai donc retrouvé les odeurs de cigarette venant de la terrasse qui vous laisse une drôle de sensations, vos doigts qui eux aussi se graissent un peu et qui "sentent le bar". Cinq ans après je suis revenu à ce genre d'après midi oisive et culturelle ("the broken sword" de Poul Anderson est un chef d'oeuvre et cet auteur est le seul être que je connaisse à s'appeler POul) et entre quelques pages, quelques gorgées de thé j'ai regardté le théâtre de la vie rouennaise qui de ce couple dont le garçon parlait un peu trop fort, qui de ce senior s'escrimant sur son téléphone ou qui de ces amis soixantenaires se racontaient leurs bons souvenirs (avec quelqu'un, comme toujours dans ces groupes, au rire énervant au possible).
Les gens venaient et partaient, d'autres arpentaient la rue pressés par la pluie. Certains se posaient pour quelques minutes ou pour quelques secondes. Le ballet d'une rue piétonne rouennais. 

Une bonne après midi.

Ps: bien entendu je ne m'étendrai pas sur les qualités en anglais des copies emmenées avec moi. Car il n'y en a pas. 

mardi 5 novembre 2013

Rêve 2.0

Rouen, sous les eaux. Continuons le retour aux mots de ce blog. Il y a 10 ans, pas de Twitter ni de réseaux sociaux.  C'était le temps des posts longs et réfléchis sans les délicieuses inconséquences en 140 caractères remplies de fautes aussi diverses qu'originales. Il y avait une légèreté qui était bien différente (youtube n'existait pas il y a 10 ans) et ce sentiment d'être les pionniers du web 2.0.
Et cette buit voilà que mes rêves on été en 2.0. Nous avons tous rêvé de ce moment où l'on veut courir mais que nos pieds restent désespérément englués. Il y avait aussi cet objet que l'on voulait attraper mais qui nous échappait à jamais. Cette nuit, j'étais à Chicago et je voulais prendre en photo l'imposante mairie (trop balnche et rouge et entourée de trop d'arbres pour etre vraie) et là, c'est la photo parfaite qui m'echappait. Impossible d'avoir un plan large. J'avais beau appuyer, mon appareil restait de marbre, ne prenant qu'un morceau insignifiant de l'édifice.

Sans dire que c était un cauchemar, cela m'a donc rappelé ces courses qui m'echappaient. Cela marquait aussi la première fois que je faisais ce genre de rêve, chose que je ne peux pas dire bien souvent.
Mais je pense surtout que c'est un rêve occidental.  Pas sûr qu'au Bangladesh ils fassent des colloques sur cette typologie onirique.

lundi 4 novembre 2013

Souvenirs des ambiances

Moon and the Holy Lake by ClaudioMac
Moon and the Holy Lake, a photo by ClaudioMac on Flickr.
de mes premiers posts. Et aussi parce que je viens de découvrir la nouvelle mouture de Flickr. Il n'y a pas à dire, Yahoo a très bien revampé ses produits. Même si les badges Java des photos ne marchent plus.

Signe de vie?

Rouen. Cela devient inquiétant: 3 posts en quelques heures. "It's alive" pourrait crier comme un Victor Frankenstein transporté d'allégresse. Pourtant, des SEGPA pour la rentrée, ça a de quoi vous calmer dans le genre "tiens les vacances sont finies". J'ai beau leur faire Forrest Gump, mais ils ne voient pas le miroir qu'il peut être et ce formidable message d'espoir pour ceux qui me disent que Lincoln a une tête de pédé (je vous passe la description du moment de cruelle solitude que j'ai pu ressentir)/
Il n'y a pas à dire, plus on les fréquente, plus on rêve d'évasion. Et plus on va chercher des cours dans le labyrinthe des internets. Et comme toujours on trouve un million de choses, et comme toujours on les empile sur le PC en se disant "On Ne Sait Jamais". Mais en fait, on sait toujours au fond de soi qu'on ne l'utilisera pas. Ce fameux "On Ne Sait Jamais" régit quand même pas mal ma vie dans le fait que je ne jette pas grand chose.
 Les vêtements? "On Ne Sait Jamais" si j'ai besoin de ce Tshirt que je n'ai pas mis depuis 5 ans.  Les comics? Si un jour je veux le relire, on ne sait jamais. Et cela fait 3 ans que je galère à lire ceux que j'ai depuis 5 ans. Les séries que mon oncle d'Amérique m'envoit? Pareil. Mieux, les documents BBC. "On Ne Sait Jamais"  en cours, un jour, je pourrais passer 2 minutes sur les six heures.
Tout comme les livres qu'on emmène avec soi car ON NE SAIT JAMAIS mais qu'on ne lit jamais, le ONSJ permet d'ouvrir une porte sur une vie rêvée, fantasmée même.
Pour les livres, je me mets à aspirer à une panne d’ascenseur, d'une tempête de neige digne de 2012 ou d'un avis de confinement. Ça me permettrait de lire, voir et écouter tout ce que j'ai en retard. Voilà donc pourquoi mon appartement se transforme en antre.
 Parce qu'on ne sait jamais.

Bon pour les cours, ce site est très bon (si vous êtes prof d'anglais).

dimanche 3 novembre 2013

Que le jury soit témoin

Rouen. Il est 20h34 et j'ouvre enfin mon sac après 15 jours de vacances.  Au programme,  des contrôles à corriger dont j'avais oublié l'existence et la traditionnelle question: "euh, je fais quoi déjà avec cette classe?". Bref personne n'a envie d'aller à l'école. Bien sûr, c'est comme rentrer dans l'eau une belle après midi d'été.  Elle est froide au début mais elle est bonne une fois qu'on est dedans.

Rouen va bien

En 2013, on en s'ennuie pas dans cette ville. Quand on n'est pas pris
dans les embouteillages bien entretenus par une succession de maires
incapables, eh bien on se rend compte que le statut de piéton n'est
guère plus enviable.

J'en veux pour preuve cette capture d'image de 76actu.fr

vendredi 1 novembre 2013

Halloween, un sacré treat

Après m'être promené dans Rouen et installé avec mon petit groupe d'amis (en ces périodes de tribu et d'appartenance je devrais dire mon Crew ou mon Posse..) à la Boîte à bières, j'ai donc vu passé les déguisements d'Halloween. Comme je disais ailleurs, Halloween en France est triste.  Des tonnes de maquillage noir. Des tonnes de maquillage blanc et bien trop peu de couleurs.  Ainsi je ne compte plus le nombre de sorcières et de zombies, sans parler des vampires. On est loin de l'exubérance américaine pour qui Halloween n'est pas que s' habiller de manière horrifique,  preuve que ce n'est vraiment pas dans notre culture, contrairement à ce que les publicitaires veulent nous faire croire. (Pour ma part, juste mes gants squelettes phosphorescents)

LEGO Super Star Destroyer VS. LEGO Death Star

http://www.youtube.com/v/tuxM-avNfLo?version=3&autohide=1&showinfo=1&attribution_tag=6uA097GE973dA16yHSwImA&autoplay=1&autohide=1&feature=share

Oui, je le dis. Le Geek en moi aime. Il est attiré. Le nul en maquette aussi.