jeudi 31 juillet 2003

Voici une liste de questions auxquelles il faut répondre avant de mourir:



La magie est-elle un art oublié ou a-t-elle changé de forme?



Dieu existe-t-il ou bien nous a-t-il abandonné après que la première de ses créatures ait commis l'irréparable, le punissant et tournant le dos à ceux qui devaient suivre?



Pourquoi, pourquoi les filles aiment-elles tant recevoir des fleurs?



Trois questions, trois réponses, quelque part dans le grand livre de Notre histoire ...

mercredi 30 juillet 2003

Courtesy of this site comme on dit:



Depuis de années, le site Internet du petit village gallois de Llanfair Pwllgwyngyll en Angleterre est reconnu par le livre Guiness des records comme celui ayant le plus long nom de domaine au monde. Toutefois, ce titre fait des envieux. En effet, un quidam vient d'enregistrer un nouveau nom de domaine qui dépasse en longueur celui du village de Llanfair Pwllgwyngyll.



Je n'ai pas mis le lien car il ne marche plus mais dans le registre "c'est pas la taille qui compte" voici le plus long titre de site web, d'un amateur éclairé d'humour:





thelongestdomainnameintheworldandthensomeandthensomemoreandmore





L., ceci est à mettre au rayon: "étrange et un peu inutile
Pour ma part je pensais plutôt être destruction parce que en c emoment, il y a BEAUCOUP de changements, mais le résultat est impitoyable:







  • My #1 result for the SelectSmart.com selector, The Endless Quiz..., is Destiny

  • mardi 29 juillet 2003

    Jonathon to all - I am the prisoner of the paradise I dreamed

    The idol of a million lonely faces look at me

    Behind the mask of sorrow, four doors of doom behind my eyes

    I've got their footprints all across my crimson mind





    I was the warrior, with an anthem in my soul

    The idol of eight thousand lonely days of rage ago

    And remember me when it comes your time to choose

    Be careful what you wish for, it might just come true





    - Living in the limelight little did I know

    I was dying in the shadows and the mirror was my soul

    It was all I ever wanted, everything I dreamed

    But the dream became my nightmare and no-one could hear me scream

    With these six-strings, I make a noose

    To take my life, it's time to choose

    The headlines read of my demise, of my suicide



    Jonathon to the King of Mercy - Oh sweet silence, where is the sting

    I am no idol, no crimson king

    I'm the imposter, the world has seen

    My father was the idol, it was never me

    I don't wanna be, I don't wanna be, I don't wanna be

    The crimson idol of a million

    I don't wanna be, I don't wanna be, I don't wanna be

    The crimson idol of a million eyes









    "La rue luisait de la pluie quie ne cessait de battre la pavé.

    Chaque goutte se transformait en aiguille argentée à travers le prisme des réverbères.

    Avec la lune pour témoin, il errait sans but dans ce labyrinthe de béton.

    Pourquoi était-il là? Il devait y avoir une raison qui l'avait fait s'aventurer dans cette cité.



    La réponse. La clé. La solution.



    Il ne pensait plus qu'à cela alors qu'à chaque pas, à chaque coin de rue, son esprit s'enfonçait encore un peu plus dans les ténèbres."





    L. ferma le livre et regarda son monde endormi.





    lundi 28 juillet 2003

    "There and back again", comme disait un sage.

    Nous sommes dans la saison des images et non des mots. Nous essayons de capturer des instants, des moments, des couleurs qui nous feront chaud au coeur quand le froid reviendra.

    Alors, L., ce n'est pas un mot que je t'envoie mais l'image volée d'un été..







    vendredi 25 juillet 2003

    Bon, alors que je repars quelques jours, voici LA question existentielle!



    Qui c'est qui est plus fort entre ce jeune éphèbe un peu coincé qui se la joue "je-suis-l'élu-donc-faites-pas-chier"









    et ce vieillard élégant, à l'esprit vif, toujours prêt au bon mot et à secourir les plus petits que soi?









    Alors c'est qui le plus fort donc?*





    Mais pourtant, on sait tous, tout du moins ceux qui ont la sagesse du ciel et des pierres, que la réponse est ici



    * Toute réponse parlant d'un hypothéthique bédouin mangeant du Prosper et qui en chevauche sans qu'ils soient solitaires est interdite!

    mercredi 23 juillet 2003

    Reprenons donc quelques chroniques sur la grandeur d'âmes des gens, L.

    Vois-tu sur mon petit coin de paradis, il y a des chiens. En fait ce ne sont pas les chiens qui me gênent mais leurs abrutis de propriétaire. Cette tranche de français qui trouve normal que leur maudits clébards laissent leur déjection partout. sur la plage, dans les chemins (et si possible, bien au milieu du passage).

    Je vous passe ceux qui les font galoper sur la plage, terrorisant les pauvres enfants pour qui la plage est faite de vagues et de châteaux de sables qui ne tiennent pas à cause de la marée...(énigme éternelle s'il en est).

    Encore plus irritant, la réponse de ces homo cretinus qui répondent" que c'est pas de leur faute", "qu'ils allaient pas l'abandonner" ou enfin le terrible "et alors, c'est pas un problème"...

    Quand j'entends ces mots, quand je vois ce comportement, je regrette

    1/ de ne pas être un Don de la mafia et de faire casser les genoux à ces types.

    2/ de ne pas pouvoir manger 40 kilos de pruneaux et en laisser la trace odorante et crémeuse sur le seuil de leur tente/maison en écrivant RESPECT (de plus ça leur apprendra l’orthographe!!)



    mardi 22 juillet 2003

    Ca y est, L.

    j'y suis, dans ce nouveau chateau. Il est plus effrayant que l'autre. Plu spetit aussi mais il est surtout totalement vierge de tout souvenir et prometteur d'un avenir qui ne peut être que plus radieux que le précédent.

    Les souvenirs n'ont plus qu'à se créer..

    lundi 21 juillet 2003

    Dans sa bibliothèque, L. rangea cette chanson:



    Ain't no sunshine when she's gone.

    It's not warm when she's away.

    Ain't no sunshine when she's gone

    and she's always gone too long

    anytime she goes away.

    Wonder this time where she's gone,

    wonder if she's gone to stay

    Ain't no sunshine when she's gone

    and this house just ain't no home

    anytime she goes away.



    And I know, I know, I know, I know, I know,

    I know, I know, I know, I know, I know, I know,

    I know, I know, I know, I know, I know, I know,

    I know, I know, I know, I know, I know, I know,

    I know, I know, I know



    Hey, I ought to leave the young thing alone,

    but ain't no sunshine when she's gone,

    ain't no sunshine when she's gone,

    only darkness everyday.

    Ain't no sunshine when she's gone,

    and this house just ain't no home

    anytime she goes away.

    Anytime she goes away.

    Anytime she goes away

    dimanche 20 juillet 2003

    De retour pour quelques jours et c'est vrai que ça fait du bien de retrouver L. dans son pays où tout est si calme.

    Je n'ai pas craqué mais un zona puissance m'a attaqué et même mon coin de paradis n'a rien pu faire contre la douleur...



    Petite carte pour L.:



    D'ici et de là...











    Je l'avais dit, le cool cat est là. Il ressurgit là où on l'attend pas, presque comme Candyman.

    Modeste, c'est pour toi...





    Et c'est ici



    Attention, c'est grand....

    mercredi 9 juillet 2003

    La sortie se précise avec son lot d'épreuves. J'ai raté celle de "retrouvez votre Carte bleue" et j'ai donc eu à appeler ma banque..Il reste encore plein de trucs à faire dans l'appart mais bon on maintient le cap...

    surtout ne pas craquer

    Surtout ne pas craquer....

    SURTOUT NE PAS CRAQUER....

    lundi 7 juillet 2003

    Là où il y avait la vie et le mouvement, il n'y a plus que des papiers et de la poussière. Ces murs qui me regardent, omniprésents ne semblent pas comprendre.

    Où est la joie, le bonheur? Où sont les colères, les disputes, les réconciliations?

    Il n'y a plus rien maintenant. Un chapitre se referme dans le silence assourdissant des souvenirs, L.



    Que sont nos amours devenues?



    "[...] Je n'ai rien vu, rien que le vent sur l'eau"





    Je me souviendrais de tout cela. De tous ces moments que nous nous sommes fabriqués, de l'univers que nous nous sommes construits.

    Nous n'avions pas prévu ce destin.Nous ne voulions pas écrire cet odieux mot "fin".

    Mais tous ces souvenirs se sont envolés quand notre terre a tremblé.

    Ils sont tous là et nous n'avons qu'à lever la tête pour les contempler.

    Et attendre un peu pour les ramasser.





    "Rien ne finit jamais"



    vendredi 4 juillet 2003

    mercredi 2 juillet 2003

    Phase terminale de mon déménagement. Les nerfs sont toujours aussi tendus mais on voit le bout. Je suis donc dans l'incapacité d'écrire avant dimanche je pense. Mais bon, qui vivra, verra...



    TO the future!!!!
    L. a toujours aimé l’été. Tout semble durer plus longtemps.

    La chaleur du jour que la nuit a du mal à chasser.

    Les nuits passées à ne rien faire, à traîner pour le plaisir d’avoir le temps.

    Lire un livre et se perdre dans les heures nocturnes, quand le soir devient matin.

    Rêvasser à ce que serait l’après été.

    Prendre des résolutions d’un fier élan, résolution qui ne passeront pas le bronzage qui s’en va.

    Les films, les filles, les amis.

    Cette légère et adorable inconstance.

    Une musique d’été ? Celle de Rachel Portman : la légende de Bagger Vance.

    Un film qui aurait pu être excellent mais qui a défaut d'être une copie de "Et au milieu coule une rivière" possède une magnifique BO, pleine d’une joyeuse mélancolie, emplie d’un romantisme estival, d’une belle et légère poésie.

    Cette même poésie qui vous fait vous allonger dans l’herbe fraîche et regarder les étoiles…..