Du thé, la télé et des copies. D'accord ça ne rime pas mais ce n'est plus le moment de faire dans la poésie.
En fond visuel la série de Canal +, les Revenants, encensée par la critique et Telerama. Lente, avec un faux air de mystère car il est évident que les scénaristes ne savent pas où ils vont (ce qui est inhérent dans ce genre d'histoires car la "solution" ne peut etre que décevante), c'est le Mad Men du fantastique, flirtant entre le lent et l'ennuyeux. Cela se veut esthétique et un peu poseur. Derrière le silence il y a autre chose mais n'est pas David Lynch qui veut. Cela a pour conséquence que nous bien souvent dans les territoires de l'ennui que du lent. Les personnages ne sont pas attachants et l'ambiance froide anesthésie toute émotion (ce qui est voulu, c'esr un fait). Je ne mentionne pas les lourdeurs, le jeu d'acteur et des dialogues parfois peu inspirés. Le film avait les mêmes défauts d'ailleurs. Mais le côté pub pour le prozac pendant huit épisodes est au-delà de mes forces. C'est une série d'ambiance et celle-ci est bien présente mais il y a un moment où elle doit aussi faire place à de l'action pour que l'histoire avance sans tomber dans l'excès Lostien de la dernière partie. Faute de quoi, on ne revient pas, on s'en va.
vendredi 4 janvier 2013
La Sainte Trinité
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