Rouen. Une de mes nombreuses étagères de livres. Un essai "ambiance bouquiniste" qui a pris une heure sur les 20 minutes prévues. Et à voir le nombre de livres en anglais, les enfants en bas âge vont se poser pléthore (ça en jette toujours, ce mot) de questions sur cet étrange langage et ces mots qui ne sont pas comme à l'école. Surtout qu'il est dur de trouver une harmonie quand, sur le dos des bouquins, les titres en anglais et en francais ne sont pas écrits dans de la même manière. Les francais impriment ainsi dans un sens de lecture allant du bas vers le haut tandis que les anglo-saxons vont du haut vers le bas. Si cela gêne le coup d'oeil général et un balayage harmonieux, cela a au moins le mérite de nous épargner un torticolis et fait travailler la tonicité du cou. Qui prétend encore que le livre est mort quand il est si sain pour le corps?
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