Rouen, sous les eaux. Continuons le retour aux mots de ce blog. Il y a 10 ans, pas de Twitter ni de réseaux sociaux. C'était le temps des posts longs et réfléchis sans les délicieuses inconséquences en 140 caractères remplies de fautes aussi diverses qu'originales. Il y avait une légèreté qui était bien différente (youtube n'existait pas il y a 10 ans) et ce sentiment d'être les pionniers du web 2.0.
Et cette buit voilà que mes rêves on été en 2.0. Nous avons tous rêvé de ce moment où l'on veut courir mais que nos pieds restent désespérément englués. Il y avait aussi cet objet que l'on voulait attraper mais qui nous échappait à jamais. Cette nuit, j'étais à Chicago et je voulais prendre en photo l'imposante mairie (trop balnche et rouge et entourée de trop d'arbres pour etre vraie) et là, c'est la photo parfaite qui m'echappait. Impossible d'avoir un plan large. J'avais beau appuyer, mon appareil restait de marbre, ne prenant qu'un morceau insignifiant de l'édifice.
Sans dire que c était un cauchemar, cela m'a donc rappelé ces courses qui m'echappaient. Cela marquait aussi la première fois que je faisais ce genre de rêve, chose que je ne peux pas dire bien souvent.
Mais je pense surtout que c'est un rêve occidental. Pas sûr qu'au Bangladesh ils fassent des colloques sur cette typologie onirique.
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