mercredi 6 février 2008

La plainte

Rouen. Sotteville. Je vous le disais il y a quelque jours, j'ai eu un pneu crevé en partant tôt le matin. La joie de tout remonter et surtout, le lendemain, la joie d'aller faire changer le tout. On m'indique donc que je vais devoir en changer deux car ce modèle ne se fait plus. Résultat, 170 euros. Mais surtout il m'indique l'origine de la crevaison:Pas un clou mais visiblement deux coups de tournevis. Donc on résume, quelqu'un est rentré dans les parkings et par pure méchanceté/connerie (rayez une mention inutile si vous croyez en l'humanité) m'a soutiré 170 euros. Je vous passe les envies de justice expéditive, j'appelle le syndic qui découvre ainsi ce qui se passe dans la "forteresse de papier" et je pars donc porter plainte.
La police est donc une administration mais au contraire de la poste, on va éviter de râler quand on se rend compte qu'on attend 30 minutes et qu'on est tout seul dans l'entrée. Il nous faut ensuite 30 minutes de plus pour la plainte car l'imprimante ne marche pas, au désespoir amusé et résigné de l'inspecteur qui m'accueille.
Quand je ressors de là, mon papier à la main (en fait, mes 5 feuilles, bonjour le développement durable), j'ai juste l'impression d'avoir crié dans le vent et que mon petit papier va rejoindre un grand autel qui jamais ne brûlera.
Ainsi sont les chroniques de Fiddler: pas mal de bas en ce moment. But let's wait a little more, who knows...

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