Le pire? Ne pas savoir quand on va rentrer. Les vols sont tous pleins pour Londres pour les trois jours à venir.
Quelle histoire pour ma dernière. Et quand on parlait de se sentir seul, là je le suis. Plus que jamais. Surtout quand des jeunes fument dans la chambre de ce sympathique pays, sous les alarmes incendies. Quand d'autres craquent ou paniquent. Et vous devez tout contrôler, répondre au flot de questions avec les pressions venant de France. Encore quelques heures et je tomberai le masque. Call me the Lonesome journeyman
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