jeudi 4 août 2011

Les choses qui me manquent

Cairns. Retour dans 15 jours. Bien entendu, la joie d'être ici est là mais il n'y a plus la joie de la surprise et de la découverte constante. Je pense donc à ce qui me manque. A ce que j'ai tant envie de retrouver.

  • Du Perrier. Il n'y a pas en Australie (à part dans les restaurants) et c'est un peu trop cher pour notre euro bien faible.
  • Des petits suisses (petits mousseux). Ici, après le plat principal, on passe au dessert (quand il y en a un). Et bien souvent il s'agit d'un fruit. Il y a des habitudes alimentaires (et familiales) qui sont dures à dépasser.
  • De l'eau sans gout bizarre. Si en France, les rayons d'eau minérale sont la longueur de la muraille de Chine, ce n'est pas le cas ici. L'eau minérale est peu présente et c'est de l'eau traitée que l'on trouve. Il y a toujours un certain gout. Et comme il fait assez chaud, on en consomme beaucoup renforçant à chaque gorgée ce drole de gout. C'est peut-être pour celà qu'en France on passe pour des personnes raffinées (ou de grosses taffioles)
  • Un vrai internet, avec un vrai débit et ne pas avoir à me connecter comme je le fais, avec tous les codes à entrer. Mon oncle d'Amérique va me redonner plein de choses.
  • Ma saison NFL. Rien à voir avec le pays mais quand je reviens, ça reprend. Et toujours à me demander si je rejoins les Conquérants de Caen pour une nouvelle saison.
  • Un pays sans Masterchef à regarder car je commence à faire des overdoses.
  • Du vrai beurre. Et demi-sel, bien sur.
  • Mon Cool Cat.
  • D'autres couchers de soleil.

2 commentaires:

  1. Quelle liste !
    Je me souviens d'un jour, alors que j'étais dans un pays lointain, j'ai eu une envie irrépressible de parler français, avec des français, de lire du français, de regarder la tv en français. Marre de parler une autre langue que la mienne.

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  2. pour la langue, non, c'est pas le cas, je pourrais me perdre dans l'anglais sans souci et avec joie. Mais pour le reste, c'est ce sentiment que tu es quand même loin de chez toi. Et que comme Ulysse, il faut bien repartir..

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