jeudi 12 avril 2007
Deux bras coupe-faim
Je suppose que l'amour des animaux est ce qui avait motivé ce vétérinaire taiwanais. En tant que prof, on risque beaucoup de choses mais pas ça (tout du moins tant que nos élèves ne mangent pas trop d'OGM). Sacrée bestiole quand même (et pourquoi ils ne lui ont pas repris l'avant-bras? C'est un trophée?)
En fait, tout est bien qui finit bien: la police a tiré deux balles sur l'animal pour qu'il relâche le bras. Ce dernier a été recousu au reste du véto. Le crocodile a survécu aussi.
C'est pas beau la vie?
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