La lumière se retire, peu à peu. Elle nous abandonne, partant à l'autre bout de la terre et c'est le froid qui prend le relais. Il est partout. Il s'accroche à vous et ne veut pas partir. Il guette notre peau et son allié le métal nous contamine tout aussi facile. On grelotte, on le fuit, mais il nous poursuit, ne renonçant à sa chasse que bien trop tard, nous faisant frissonner, nos pauvres vêtements impuissants ne pouvant nous conforter, pour l'instant.
Où que l'on regarde en ces petits matins, on voit son oeuvre nocturne.
La nuit est là, elle va s'inviter. A nous de résister..
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