vendredi 5 octobre 2007

Panier garni

J'aime les gens brillants. Pas forcément des génies mais des gens ont quelque chose à dire, quelle qu'en soit la forme. Bref des gens intelligents. J'ai toujours été avec des gens brillants dans ma vie chaotique euh, amoureuse. Alors quand, par le biais de MSN, des médiocres viennent m'insulter et m'agresser pour ruiner ma pauvre concentration sur ma dissertation, je suis énervé (et pourtant je suis resté étrangement calme. Je vieillis, mais il faut aussi dire que c'était tellement pitoyable qu'il fallait en rire)
Mais Michael Scott est là et Friday Night Lights revient ce soir. Cette série est extraordinaire, et il me faudrait plusieurs posts pour que l'on voit au delà du sport. On dira juste qu'elle est tellement bien écrite que malgré des audiences très décevantes, NBC l'a resignée. Et même le New York Times s'y met...

“Friday Night Lights” is a melodrama — we cannot forget that it began with the transformation of a virile star quarterback into a quadriplegic. But it is a melodrama in the most redemptive sense of the term, elevating our understanding of the form the way, as the literary critic Peter Brooks argued in the 1970s, Balzac and James did. And you know what, NBC? Those gentlemen seemed to stick.
On a connu pire comme critique.
C'est marrant de voir comment cet automne est bien agréable. Y'a plus de saison ma bonne dame.
Univers, peux-tu m'expliquer pourquoi une société basée à Singapour me répond en trois heures et qu'une basée à Londres met 4 jours?

Le cool cat va mal: il se met à courir après sa queue. Il régresse le pauvre...

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