jeudi 10 janvier 2008

On solde, on brade

Rouen/Sotteville. Alors dans le genre site où on sait pas comment s'y prendre, la SNCF se pose là de manière assez imposante dans sa nouvelle mouture. On ne comprend rien et leur sale sale manie de nous demander une confirmation que c'est bien Saint Lazare pour Rouen rive droite est des plus irritantes.
Alors que mon vieux cool cat (oui, c'est promis, je change bientôt la photo du "Where is the cool cat") continue à vouloir attraper sa queue comme un chaton au CP, je conclue ce post en rentrant dans le début de la tempête. C'est étrange comme une tempête peut souffler sur bien des mondes à la fois, emportant bien des choses. Illusions (Rorschach me comprendra, ou plutôt, je le comprends), rêves (Morpheus), une tempête emporte toujours ce qui n'est pas fermement attaché quelque part, quelque soit ce quelque part. Les lâches et les faibles qui se cachent derrière un écran de fumée y disparaissent car la fumée ne peut pas résister et les voilà tout nu dans le noir comme l'empereur et ses habits neufs. Les forts et et les fous la regardent et rient avec elle car elle leur parle et ils lui répondent.
Une tempête montre la vraie nature des gens, nous ramène à nos peurs premières, nous fait regarder les murs qui nous protègent. Elle nous ramène à notre vraie place.
Bienvenue à ce post de tempête car une tempête qu'elle soit dehors ou dedans, eh bien on a du mal à suivre ce que l'autre dit, ce que l'autre écrit. Une tempête vous emmène d'un message sur la SNCF, passe par un chat et vous échoue sur une photo.

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